Haïti : la République du mépris

Je trouve que c’est très curieux non seulement pour le lecteur, mais aussi pour l’auteur de cet article de ne pas trouver mieux que le mot «mépris» en vue de caractériser non pas tant ce pays qui nous est si cher à tous et à toutes, mais plutôt pour nommer ce qui, pendant les dix ou vingt dernières années, tendrait à caractériser le vivre-ensemble.

Je trouve que c’est très curieux non seulement pour le lecteur, mais aussi pour l’auteur de cet article de ne pas trouver mieux que le mot «mépris» en vue de caractériser non pas tant ce pays qui nous est si cher à tous et à toutes, mais plutôt pour nommer ce qui, pendant les dix ou vingt dernières années, tendrait à caractériser le vivre-ensemble. Je dois avouer toutefois que j’ai quand même fouillé dans ma mémoire pour trouver qu’un écrivain de la trempe d’Alberto Moravia a fait du mépris le titre de l’un des chefs-d’œuvre de la littératur

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