La première question à venir à l'esprit du critique avisé est celle-ci : pourquoi Claude Bernard Serant a-t-il introduit son livre sur une endémie mondiale avec le préambule du « Déjeuner sur l'Herbe » de Manet ? A première vue on penserait à un snobisme intellectuel portant l'auteur, au cours de sa première visite à Paris, à jouir du soleil d'été en un lieu propice à la détente dominicale. Pourtant, ce choix d'un tableau célèbre n'est ni un fait de hasard, ni un coup d'oeil de dilletante.
Je veux m'arrêter à la première nouvelle du recue