En dépit de la présence massive des avocats au temple de Thémis, le bilan des affaires entendues pour la journée de 4 mars 2005 est très maigre. Des juges ont dû lever siège, faute de plaideurs. D'autres ont auditionné très peu d'affaires parce que les plaideurs étaient trop abondants. Lorsque ces derniers parlent beaucoup, utilisant toutes les stratégies possibles et inimaginables pour gagner leur procès, le nombre d'affaires qui devrait être entendues est automatiquement réduit. C'est ce qui se produit, habituellement au niveau des juridictio