Nous autres, au Nouvelliste, devons nous résigner à accepter la dure réalité qu'est la mort d'Aubelin Jolicoeur. Le reportage de ses funérailles officielles chantées, samedi, en l'Eglise St Pierre de Pétionville, fait peser sur nous le poids de son absence. Car, il n'y aurait que lui avec sa verve imagée et sensible qui pourrait restituer le vibrant de l'hommage qui lui a été rendu.
Dès 7hres30-8hres du matin,des parents, des amis, des admirateurs s'étaient fait le devoir d'assister la famille en deuil qui se tenait en l'annexe du lieu-saint.