Une bonne partie des détritus qui enlaidissent les rues de Port-au-Prince et entravent la circulation piétonne et automobile - on arrive difficilement à les ramasser- provient de la province: des autobus et camions de transport en commun déversent quotidiennement passagers, produits et autres «bakanklan» sur une métropole en proie déjà à de problèmes environnementaux graves. D\'où l\'urgente nécessité pour le gouvernement de construire des gares routières tant à l\'entrée nord qu\'à l\'entrée sud de la capitale, estiment les observateurs.
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