par Pierre-Raymond Dumas
Cette question devient l\'objet d\'un débat inquiétant. On ne joue pas le destin d\'Haïti sur un coup de poker marginal (désignation d\'Aristide par notre ineffable Père Antoine Adrien en 1990) ou un sanglant coup d\'Etat militaire. Hélas, c\'est la réalité. Ce qui a changé, c\'est l\'Armée qui n\'existe plus. Mais ce qui n\'a pas changé, c\'est ce pullulement de bandes rivales et d\'associations soeurs spécialisées dans les combinaisons para-constitutionnelles et autres «Kidnappings» politiques, n\'est-ce pas Titid