Ce qu’on appelle œuvre dans les gros manuels officiels s’apparente toujours plus ou moins à une sorte de forêt : ici, plusieurs volumes de poésies ou de romans, là des recueils de récits, d’articles divers, etc. C’est l’héritage de Balzac, d’Henri James, de Frédéric Marcelin, de Frankétienne, de Jane Austen. Dans un vaste ensemble s’épanouit alors la personnalité profonde de l’écrivain… Comment peut-on s’intéresser à d’aussi pitoyables fantômes ? C’est toute la force du passage intergénérationnel. Car j’écris assez nostalgique, en fidèle lecteu
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