Un investisseur étranger voulait construire des citernes en acier inoxydable en Haïti. Il voulait embaucher des soudeurs qualifiés. Après trois mois d'entretiens, l'entrepreneur se rend compte que le niveau recherché n'existe pas dans le pays. Il décide alors de se tourner vers la République dominicaine pour enfin sélectionner les techniciens. Cette anecdote racontée par le directeur général du Centre de facilitation des investissements (CFI), Georges Andy René, est en réalité caricaturale de la formation professionnelle en Haïti.
La pénurie
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