C'est en des fulgurances de l'esprit qu'il m'arrive de méditer sur le destin de mon pays. Souvent, je me surprends à penser que trois siècles après Blaise Pascal, ses attaques virulentes contre l'hypocrisie des dévots n'ont rien perdu de leur actualité. Aussi la puissance des arguments cédera-t-elle le pas aux intuitions du coeur pour transcender toutes les ressources de la rhétorique et donner raison à ce même Pascal quand il disait que «la vraie éloquence se moque de l'éloquence ».
Je tiens à remercier le président de la République, M