Dans le parking d'Indigo, plusieurs dizaines de citadines et de tout-terrains s'alignent soigneusement. N'était-ce, le gazon dans lequel s'enfouissent mes talons aiguilles, je me serais crue au Salon de l'automobile, lors même qu'il manque les splendides mannequins aux longues jambes et de l'éclairage.
Il est presque dix heures. Sur mon passage, un des gardiens s'étonne d'une telle affluence. Lui souhaitant courage pour le travail qui s'annonce ardu, je file en douce vers l'entrée. Je passe la réception, puis je tourne sur la droite en direct