Comme beaucoup d’étrangers, Matthew Jones n’a découvert Haïti que le 12 janvier 2010, devant une télévision où tournaient en boucle les images terribles des morts, des blessés, des décombres… Devant l’horreur sans mots de la catastrophe qu’a été le séisme, ce jeune étudiant américain a voulu aider. Sentiment compréhensible et partagé par des millions de personnes à travers le monde. Mais plutôt qu