En ce mois de mars,tout converge à honorer la femme, l'être vraiment sublime et exceptionnel (1). Et encore chez nous, doit-on se pencher d'une façon particulière sur le sort de cette créature, car notre pauvre femme haïtienne supporte en réalité, sur ses fragiles épaules, une importante part dans notre économie et aussi en majeure partie dans l'éducation de l'enfant haïtien. A l'arrière-pays, n'est-ce pas la paysanne qui s'occupe de la cueillette et de la préparation de nos denrées d'exportation, tels que le café et autres ? Et c'est encore el