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En cet après-midi du 14 avril, ce sont les visiteurs qui retiennent l’attention à l’ouverture de l’exposition de photographie « Cazal, entre mémoires et oubli ». Ils sont accueillis dans l’atrium de la Fokal, cette galerie principale du bâtiment, imprégnée en ce moment d’une odeur duvaliériste. Sous le regard de ces derniers, des paysages, des portraits, des photos en couleur et en noir et blanc endeuillent les murs, campent le massacre de Cazal. Les visiteurs ont plutôt l’âme gaie. Entre des bribes de conversations ordinaires et des éclats de rire, ils sont nombreux à déambuler le long du couloir, à poser pour la galerie et à se gaver de selfies...
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