Des champs écoles paysans pour booster l’agriculture familiale !

En vue de toucher à fond les problèmes liés à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle dans le Nord-Est, plusieurs champs écoles paysans ont été mis sur pied. Par ces structures, les responsables comptent renforcer la capacité des petits producteurs de la région pour mieux appréhender et comprendre les contraintes rencontrées et prendre des décisions techniques concernant leur système de production. Ils veulent contribuer à l’amélioration de la disponibilité alimentaire par l’augmentation de la productivité et des productions locales orientées vers les filières porteuses.

Jose Flecher
Par Jose Flecher
25 nov. 2014 | Lecture : 4 min.
Pas moins de 32 Champs écoles paysans (CEP) fonctionnent quotidiennement dans quatre communes du département du Nord-Est. La commune de Capotille dont la principale activité est l’agriculture, se taille la part du lion en comptant 17 de ces écoles. Plusieurs filières porteuses sont prises en compte dans le cadre d’un tel projet. À Mingo, une localité de Capotille, le groupement Fanm konsekan est en train d’expérimenter une nouvelle approche culturale dans la filière arachide. Ce groupe constitué de 17 femmes et de trois hommes est en train d’o
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