Je m’appelle Eloi.

Résumé épisodes précédents : On a confié à la SAD, la Société Anonyme de Désenvoutement, une étrange mission : récupérer l’âme de l’ambassadeur américain qui aurait été remplacée par une autre. C’est apparemment la même personne, mais elle se comporte d’une manière qui prouve le contraire. René Ouari qui a pu identifier l’endroit où se trouve l’âme confisquée de l’ambassadeur a imaginé un invraisemblable stratagème pour infiltrer chez le bòkò Cèsimal le meilleur agent de la SAD, Bernard Sourbier. Le plan réussit dans un premier temps. Un zombi prisonnier chez le bòkò prend contact avec Sourbier, mais ce dernier est alors capturé.

Résumé épisodes précédents : On a confié à la SAD, la Société Anonyme de Désenvoutement, une étrange mission. Récupérer l’ambassadeur américain qui aurait été remplacé par quelqu’un d’autre. C’est apparemment la même personne, mais elle se comporte d’une manière qui prouve qu’il s’agit de quelqu’un d’autre. René Ouari qui a pu identifier l’endroit où se trouve l’âme confisquée de l’ambassadeur a imaginé un invraisemblable stratagème pour infiltrer chez le bòkò Cèsimal le meilleur agent de la SAD

Résumé : On a confié à la SAD une étrange mission. Récupérer l’ambassadeur américain qui aurait été remplacé par quelqu’un d’autre. C’est apparemment la même personne, mais elle se comporte d’une manière qui prouve qu’il s’agit de quelqu’un d’autre.

-C’est peut-être le dossier le plus sensible que je vais vous dévoiler, me dit un après-midi de janvier René Ouari, le patron de la Société Anonyme de Désenvoutement.

On entendait la musique qui se jouait à l’intérieur de l’Hôtel des Vivantes de très loin, depuis la place publique où on offrait à louer très tard des bicyclettes qui permettaient de faire le tour de l’église et de piquer une tête jusqu’à l’avenue qui longeait la côte.

Résumé des épisodes précédents : Madame Wilaire, fidèle du pasteur Gengenn, a obtenu la guérison de son infertilité en priant sur une pierre que le prétendu homme d’Église dit avoir ramener d’Israël.

Livres en liberté aux Cayes le week-end dernier, dans la morose atmosphère nationale saturée de médiocrité, a été plus qu’une bouffée d’air frais.

-Ce n’est pas sérieux, grommela Bernard Sourbier.

René Ouari toussota avant de se lever, d’aller vers une armoire.