Le drame qui affecte le Dynamite de St-Marc endeuillé par les pertes enregistrées dans ses rangs, appelle à une méditation profonde sur les conséquences néfastes de la précarité dans laquelle évoluent les clubs sportifs.
Des joueurs accidentés livrés à la merci de la bonne volonté et de la générosité de certains officiels parce que non couverts par une police d'assurance. Cette situation est gérée, comme on peut, dans les quartiers généraux des clubs.
Quand le malheur frappe, les dirigeants concernés ne savent à quel saint se vouer, frappant