« Lorsque Haïti aura la possibilité de résoudre elle-même ses problèmes, lorsque les dirigeants (futurs) seront en mesure de combattre l'insécurité, de mettre le pays sur les rails, la présence de la MINUSTAH ne sera alors d'aucune utilité ». Propos du président provisoire de la République, M. Boniface Alexandre. Il s'exprimait lors d'un entretien exclusif la semaine dernière avec l'AFP.
Se prononçant en faveur du maintien des Casques bleus de l'ONU en Haïti même après l'installation du prochain gouvernement le 29 mars 2006, le chef de l'Et