Le Nouvelliste : Vous avez partagé une longue amitié avec Frankétienne. Comment décririez-vous l’homme derrière l’écrivain et le peintre ?
Marie-Alice Théard : Michel Philippe Lerebours a écrit : "Une rencontre avec Franketienne n'est jamais innocente". C’est une rencontre qui nous oblige pour le moins à abandonner nos habitudes pour nous exposer au grand chambardement intellectuel que peut provoquer
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