Dans sa décision, dont l'ex-président de la Fédération espagnole de football (RFEF) va faire appel, le tribunal a estimé que Luis Rubiales avait "réalisé par surprise un acte qui porte atteinte à la liberté sexuelle d'une autre personne sans le consentement de l'agressée".
L'action d'embrasser sur la bouche une femme "n'est pas la façon normale de saluer les personnes avec lesquelles on n'entretient pas une
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous