Les universités de Jérémie frappées de plein fouet par l’insécurité

Faute de ressources humaines, particulièrement au niveau du corps professoral, à Jérémie, les universités essaient de faire de leur mieux pour maintenir les heures de cours. Le blocage de l'axe routier national et le coût élevé des rares vols effectués par des compagnies aériennes privées constituent pour le moment un vrai casse-tête. Le Nouvelliste a essayé de comprendre s’il existe des alternatives.

Flavien Janvier  jflavien50@gmail.com
Par Flavien Janvier jflavien50@gmail.com
21 févr. 2025 | Lecture : 3 min.

L’UNOGA s’efforce de trouver la bonne formule

Cela fait trois ans que l’Université Nouvelle Grand’Anse (UNOGA) essaie de pallier les heures de cours perdues dues à la crise sécuritaire. Selon l’agronome Vladimir Potgony, recteur de ladite institution qui forme de futurs agronomes et gestionnaires, la majorité de leurs professeurs viennent de l’Ouest ou du grand Sud. En ce sens, à en croire le responsable, à cause des activit&e

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous