Assise sur une petite chaise basse, tout près des matelas étendus sur le parquet d'une salle de classe du lycée Marie Jeanne, Lovely Dieujuste, une jeune mère, coiffe une fillette sage comme une image. Elle se plaint du prix des toilettes. « Pour déféquer dans le camp du lycée Marie Jeanne, on ne fait pas de cadeau. On doit payer quinze gourdes », s’offusque-t-elle.
À ce prix, comment Lovely, une esthéticienne plongée
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