Plus que la gourde qui se transforme en ‘’zorèy bourik’’, l’insécurité fait peur. Les bandits, sans aucune retenue, sèment le deuil à Port-au-Prince comme dans les villes de province. Ces derniers jours, le phénomène de l’insécurité, qui prend des proportions alarmantes, n’épargne personne.Il emporte jeunes, vieux, anonymes, universitaires, policiers…Viols, assassinats spectaculaires, kidnapping, les bandits ne se donnent aucune limite. La PNH, l’institution chargée de protéger les biens et les vies, en est la principale victime. La d
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