Roland Léonard
Il faut se présenter tôt à la grille d’admission ; les places sont limitées à l’intérieur de la salle polyvalente et on refuse du monde. Nous devons une fière chandelle à notre badge de journaliste et à Gahri Lubin de faire partie des élus, des heureux.
Le public poireaute quelques bonnes minutes dans le couloir, coupé par un « desk » gardé, avant l’autorisation de pénétrer dans ce petit sanctuaire culturel.
On s’assied, à l’aise dans la rangée de son choix. Sur scène, les habituels microphones trois ou quat
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous