A l'annexe du tribunal de Première instance de Port-au-Prince, rue Lamarre, la situation d'insécurité persiste. Des juges d'instruction ont abandonné ce local pour se réfugier au cabinet de certains collègues au Palais de justice qui leur accordent deux journées par semaine, en attendant une décision des autorités judiciaires. Une pareille situation amplifie davantage des retards dans le traitement des dossiers. Donc, une solution urgente doit être prise dans le meilleur délai.
A un moment où les dossiers affluent aux bureaux des juges d'ins