Mardi soir 12 juin, 7 h 32 p.m. On passe la barrière des nouveaux locaux de la Galerie Monnin. On a l’impression de pénétrer une demeure privée. Et cette première impression est la bonne. « C’est la maison de mes grands-parents. J’ai grandi dans cette propriété », nous confirme, Gael Monnin, gérante de cette galerie qui a été fondée en 1956. En quête d’un endroit où abriter la galerie grandement menacée par le marché qui telle une pieuvre continue à étendre ses tentacules, la jeune femme raconte que sa famille n’a cessé de battre en retrait.
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