C’est une obligation de l’État de permettre à la classe moyenne d’acheter un véhicule de qualité, selon Réginald Boulos

L’homme d’affaires Réginald Boulos a livré quelques commentaires sur le marché de l’automobile en Haïti lors de son passage à la matinale de Magik9 jeudi dernier en prélude à Auto Expo.

Jean Daniel Sénat
Par Jean Daniel Sénat
23 mai 2018 | Lecture : 2 min.

L’homme d’affaires Réginald Boulos a livré quelques commentaires sur le marché de l’automobile en Haïti lors de son passage à la matinale de Magik9 jeudi dernier en prélude à Auto Expo. Selon lui, il existe un paradoxe en ce qui concerne l’importation des véhicules. Ce paradoxe s’explique par la supériorité numérique des véhicules usagés par rapport aux véhicules neufs. « Nous importons chaque année 4 500 véhicules neufs contre 25 000 véhicules usagés », fait-il savoir. Selon Boulos, un véhicule usagé cause à la fois des ennuis à son proprié

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