Sona Jobarteh et James Germain à l’Institut français, un concert mémorable

Tout comme son kora, Sona Jobarteh se drape du rouge.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
11 mai 2018 | Lecture : 2 min.

Tout comme son kora, Sona Jobarteh se drape du rouge. Pour les habitués de Lakou Souvenance, c’est un détail qui leur est familier: il y a un jour durant la semaine de rituels où l’on revêt les tambours de tissu assorti aux habits des “tambouye”.

Des “Kreyòl” aux oreilles viennent compléter sa beauté déjà indiscutable. Un peu comme Lòlò de Boukman Eksperyans, elle reste pieds nus durant ses deux heures de spectacle.

Ce jeudi 10 mai, l’axiome “la musique est un language universel” a trouvé tout son sens. Et pour cause, la Gambienn

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