Depuis quelques jours, les images de chefs de gangs armés faisant la guerre pour le contrôle de nouveaux territoires pullulent sur la Toile. Armes de guerre à la main, menaces verbales de destruction massive, ils ont fait régner la terreur dans la sortie sud de la capitale, à quelques kilomètres du Palais national. Jadis, c’était Bel-Air et Cité Soleil, les principales zones de non-droit. En 2005, on a parlé de Dread Mackendy, Dread Wilmé, Dan Sere, Robenson Thomas, alias Labanyè et d’Emmanuel Coriolan, alias Dom Laj. Après la mort violente
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