Disons d’entrée de jeu que cet homme de science s’appelle Gustave Le Bon, l’immortel auteur de ‘’La Psychologie des foules’’. Associer un tel nom à la misogynie, cette attitude de l’esprit qui présente la femme sous un jour négatif, faisant d’elle un être absolument inférieur à qui l'on ne peut vouer aucune considération particulière, peut paraître paradoxal. On pourrait automatiquement y voir une tentative malsaine visant à ternir l’image d’un scientifique dont les idées sont souvent citées dans les program
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