Rue Robeson. Elle existe. Pas loin du morne Dédé, du côté de l’avenue Poupelard. Des jeunes doivent habiter. Il s'y trouve peut-être même une école. Avec cette façon qu’elles ont de se glisser dans les petites rues, les venelles et les corridors.
Rue Robeson. Mais les jeunes qui y vivent ou la fréquentent pour une quelconque raison ne doivent connaître ni la légende ni les prénoms : Paul Leroy Bustil. Pourtant, jusqu’au début des années cinquante du siècle dernier, l’homme était l’un des artistes – l’artiste, disaient certains journa