Suite à la libération par le commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Clamé Ocnam Daméus, le 30 décembre dernier, de 223 détenus issus de divers centres carcéraux du pays, des organisations de défense des droits humains ont exprimé leurs réserves, compte tenu du fait que des bandits peuvent passer entre les mailles du filet. Selon Pierre Espérance, secrétaire exécutif du Réseau national de défense des droits humains (RNDDH), la nouvelle de la libération de ces détenus devrait être accompagnée de la « date de leur incarcération, des mot
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous