A la FILHA – c’est un peu le cas à Livres en folie, mais moins marqué – la bourgeoisie haïtienne a brillé par son absence. Elle préfère d’autres salons et les dîners en blanc. On a vu des responsables d’établissements scolaires acheter, selon la bourse de l’institution, parfois rien qu’un livre pour la bibliothèque qu’on imagine modeste. On a vu des jeunes et très jeunes venus de très loin, à pied ou dans les conditions abominables du transport public pour acheter un livre qu’ils jugent trop cher malgré les soixante pour cent de réduction. M
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