Roland Léonard
Écrite à deux mains, cette plaquette poétique de trente-huit pages est un long chant pathétique. D’un côté , il est frémissant de sensibilité révoltée, d’horripilation devant le constat du triomphe du mal sous ses formes les plus abjectes dans la cité – le pays ou la société – qui pourrait bien se situer chez nous ou dans n’importe quelle latitude de la planète Terre où règnent la violence, la barbarie, la mort, le mensonge et l’hypocrisie, l’égoïsme et le mépris, l’indifférence de quelques privilégiés ; face