« Si, entre nous, il y a un, deux ou trois policiers impliqués dans l’exécution présumée de gens à Grand-Ravine ou dans la bastonnade de cet ingénieur, responsable de l’école Maranatha, il faut les dénoncer pour que l’on prenne les sanctions qui s’imposent», a confié le directeur général de la PNH, Michel-Ange Gédéon, en interview avec le journal, mercredi 22 novembre 2017.« Mieux vaut perdre un ou deux policiers au lieu de tenter de les couvrir et risquer de perdre l’institution. Il y a eu des efforts faits dans le passé. Ce sont des acquis
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