Claude Bernard Sérant
Au cœur ça fait mal, Boulo. J’ai appris la nouvelle, le vendredi 17 novembre, dans l’après-midi, un après-midi triste qui s’ouvre sur une ville sans lumière noyée dans le black-out. Dans cette ville sombre, abandonnée, défigurée et croulant sous les immondices, j’ai repassé dans ma mémoire notre dernière rencontre. Tu étais venu à la maison avec le cinéaste haïtien Kendy Vérilus et l’ethnomusicologue américaine, la pianiste, Rebecca Dirksen, pour aller prendre un verre avec moi à l’hôtel Oloffson. Tu rayonnais
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