par Roland Leonard
J'ai achevé avec regret la lecture des dernières pages de cet ouvrage ; je l'ai refermé bouleversé, excité et enthousiaste.
Je ne m'attendais pas à cela de la philosophie, matière que j'ai boudée dès la terminale, qui jusqu'ici m'a laissé méfiant et sarcastique, à quelques exceptions près ; de mon point de vue, elle professe trop souvent le désespoir, l'amertume, le pessimisme ou alors elle s'échappe de certaines réalités concrètes, pragmatiques pour planer dans l'insondable et l'indicible des préoccupations ontologiqu