Des déclarations qui rappellent celles de tel médecin qui voulait faire de Port-au-Prince une montagne de cadavres. Des appels à la violence de la part d’élus ou de hauts fonctionnaires. Des civils armés tirant sur des manifestants sous l’œil complaisant de policiers. En même temps une recrudescence des actes de banditisme. Cela a une sale odeur de déjà vu. Cela commence à ressembler à l’utilisation du banditisme comme arme politique. Cela commence à ressembler à la mise en place ponctuelle ou structurée de forces parallèles. Cela commence à
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