« Nous n’avons pas encore signé de contrat. Nous ne sommes qu’à la phase des conversations », a confié au journal l’édile de Port-au-Prince, conscient que le sujet intéresse énormément la population et qu’il pourrait bien prêter à des excès. Concernant la lettre, Youri Chevry reconnait que si certaines des informations véhiculées sont vraies, dans leur grande majorité elles sont fausses.
« Les Chinois ont effectué les études […], ils me les ont montrées et j’ai dit que je suis favorable à ce que j’ai vu. Rien d’autre. Aucun contrat n’
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