A César, ce qui est à César

Roland Roy, qui a consacré une grande partie de sa vie au service de l’olympisme, doit se remuer dans sa tombe à l’annonce de l’absence (particulièrement) du volley-ball dans le programme de la semaine olympique, nouvelle version.

Raphael Féquière
Par Raphael Féquière
25 août 2017 | Lecture : 1 min.

Roland Roy, qui a consacré une grande partie de sa vie au service de l’olympisme, doit se remuer dans sa tombe à l’annonce de l’absence (particulièrement) du volley-ball dans le programme de la semaine olympique, nouvelle version. L’ex-dynamique (on ne peut plus) secrétaire général du COH, bel athlète en son temps et brillant volleyeur, aurait tout fait pour éviter toute guerre des nerfs et ramener le fair-play dans les esprits.

Mais autres époques, autres moeurs, le pays a l’olympisme et les dirigeants qu’il mérite. Roi de l’énergie

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