« Il n’est pas possible qu’un budget, instrument de prévision, de planification, de développement économique et social soit aussi exclusif et inégal », déplore Camille Charlmers, directeur exécutif de la Plateforme haïtienne de plaidoyer pour un développement alternatif (PAPDA). Selon lui, ce budget ne tient nullement compte de la réalité socioéconomique de la plus grande majorité de la population. Malheureusement, ce sont les pouvoirs exécutif et législatif qui sont les plus grands bénéficiaires de cette loi de finances pour l’exercice 2017