La question n’est pas de savoir s’il y a besoin ou nécessité d’un nouveau code pénal. Mais de fabriquer un code qui soit à la mesure de nos moyens. Certes, ce n’est pas incontestable comme proposition. Car il s’en trouvera toujours quelqu’un, voulant faire de l’esprit, pour nous objecter que les lois, en plus de réguler la conduite de la population à laquelle elles sont destinées, provoquent aussi une certaine orientation de ladite population. La prédisposent et l’ouvrent à des questions à lui jusque-là étrangères. Soit.
Toujours est-i