Robenson Henry, journaliste par amour

Le lauréat du prix Philippe Chaffanjon 2017 est un journaliste dans l’âme. Robenson Henry a grandi avec la passion dans les veines. Mû par le souci d’aller au-delà de l’actualité politique, c’est-à-dire de dépasser le factuel, il voit dans ce métier une belle opportunité de faire bouger les choses, de porter un engagement.

Juno Jean Baptiste
Par Juno Jean Baptiste
07 août 2017 | Lecture : 3 min.

« Je suis devenu journaliste parce que j’ai aimé le métier », confie, la voix grave, Robenson Henry, heureux de voir son travail récompensé. Journaliste à Radio Kiskeya, où il travaille depuis plus de quatre ans, Robenson est l’une de ces graines, pleines de fougue et d’avenir, dont regorge le métier de journaliste en Haïti. Celui qu’on apercevait souvent dans les manifs de l’opposition contre Michel Martelly en 2014, parcourant avec une débordante énergie les rues de la capitale, trimbalant, le visage perlé de sueur, son micro sous les lèv

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.