« Je suis devenu journaliste parce que j’ai aimé le métier », confie, la voix grave, Robenson Henry, heureux de voir son travail récompensé. Journaliste à Radio Kiskeya, où il travaille depuis plus de quatre ans, Robenson est l’une de ces graines, pleines de fougue et d’avenir, dont regorge le métier de journaliste en Haïti. Celui qu’on apercevait souvent dans les manifs de l’opposition contre Michel Martelly en 2014, parcourant avec une débordante énergie les rues de la capitale, trimbalant, le visage perlé de sueur, son micro sous les lèv
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous