En l'absence de toute volonté de dialogue, la contestation se durcit crescendo et paralyse une grande partie de l'administration judiciaire. Au sixième jour de grève, les greffiers sont plus que jamais «décidés» à poursuivre leur mouvement de protestation tant que les autorités ne prennent pas en compte leurs revendications.
« Pas question d’observer une trêve », a martelé le président du Syndicat national des greffiers haïtiens, Jean André Moïse, dénonçant le comportement du ministre de la Justice et de la Sécurité publique Heidi Fortuné, q
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