La cerise est un fruit très prisé. Au gré des saisons, son prix fluctue, ça va, ça vient, ça monte, ça redescend. Dans mon nouvel essai « Des dollars et des gourdes», le lecteur fait connaissance avec un titre inhabituel « Cerise et gourde : différence dans les prix fluctuants». J’ai retenu la cerise parce qu’il m’a semblé que c’est le produit avec lequel je peux plus facilement expliciter la fluctuation. Avec cet emprunt aux caprices de la mer – souvenons-nous de la maxime latine « Fluctuat nec mergitur», approximativement il flotte mais il ne