Texte d'archives de Le Nouvelliste / Hommage au poète

Carl Henri dans un poème de Claude Clément Pierre

La poésie, c’est fait pour être dit. Surtout quand le souffle du diseur accorde de la mélodie aux paroles de l’auteur. Sous la tonnelle de la FOKAL, au festival Étonnants voyageurs, les auteurs ont dit des textes qui ont réchauffé le cœur du public.

Claude Bernard Sérant
Par Claude Bernard Sérant
24 juil. 2017 | Lecture : 4 min.
D'encens et de souffre, ce poème du professeur Claude Clément Pierre est tiré de «Le coup de l’étrier chant III». Au festival Étonnants voyageurs, on demande au poète de lire un poème de son cru. Il décline tout simplement parce qu’il ne se souvient pas de ses textes. Carl Henri Pierre, un jeune journaliste du quotidien Le National qui affectionne la poésie du professeur, se propose de lire « D'encens et de souffre ». Le public assis sous la tonnelle de la FOKAL voit le journaliste débiter mélodieusement le poème. Il est applaudi. Claude se se
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