Kara Vaval Ferrier autour des 28 000 jours

Avocate de profession et responsable d’une plateforme qui permet à des professionnels de la diaspora de revenir travailler au pays, Kara Vaval Ferrier est une femme active comme dans ces séries américaines exaltant les superwomen. Son agenda surchargé ne l’empêche pas de se consacrer à la motivation de ses compatriotes, notamment ceux du pays qui ne sont pas au contact de ce genre de mine inestimable, selon ses mots. D’où l’écriture de son tout premier ouvrage « 28 000 days make your counts » qui devra être traduit en créole dans une version audio pour servir de document de chevet à ses ateliers de motivation qu’elle envisage d’organiser pour les enfants, les employés, tous ceux que cela attire. Elle a signé le bouquin terminé en novembre, le dimanche 25 juin au Yuka bar Restaurant.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
30 juin 2017 | Lecture : 4 min.
Kara Vaval Ferrier est le croisement entre une belle femme, une tête bien faite et une motivatrice personnelle capable de balayer en un instant les croyances négatives les mieux enfouies en vous. Notre compatriote qui vit depuis l’adolescence dans le sud de la Floride n’était pas comme prédestinée à la littérature de la motivation personnelle. C’est un enchaînement d’évènements qui l’y ont conduite. L’assassinat de son père au pays la bascule quelque temps dans des idées sombres jusqu’à ce qu’elle arrête de se considérer comme victime.
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