Le sénateur de l'Ouest, porté aux devants de la scène par la crise née de l'exigence d'un ajustement salarial par les ouvriers de la sous-traitance, semble ne pas vouloir s'en détacher. Son combat l'a amené lundi à Caracol et au CODEVI, au chevet des travailleurs, toujours avec le même objectif: être au courant de leurs conditions de travail et inciter les chefs à agir. Le Conseil supérieur des salaires (CSS), déjà installé et attendu au pied du mur, ne l'en dissuade pas. Antonio Chéramy, président de la commission Affaires sociales du Sénat, d