La saison cyclonique a débuté depuis le 1er juin dernier. Alors qu’aux Gonaïves, une ville très vulnérable, aucune mise en place n’est encore faite pour protéger la vie et les biens des citoyens. La rivière Quinte, le cauchemar des Gonaïviens, est dans un état déplorable. Les drains et les canaux d’évacuation ne sont pas curés. Comme d’habitude, les autorités attendent le moment qu’elles jugent opportun pour agir.
Sur les réseaux sociaux, dans les émissions de radio, les citoyens ne cessent d’exprimer leurs préoccupations face à la négligen
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