Ni pancartes, ni attroupements. L’attirail de débrayage n’est pas visible à la Sonapi, un peu après midi, lundi 29 mai 2017. À l’entrée de quelques usines, des sacs à main sont rangés dans des casiers. Plus d’une dizaine de policiers de l’UDMO papotent, assis à l’arrière d’une camionnette blanche garée à l’ombre, presque à l’angle des rues 1 et C. À part le soleil de plomb qui écrase ce parc industriel situé dans les parages de l’aéroport international Toussaint Louverture, il n’y a apparemment rien à signaler. « On a repris le travail samedi »
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