On l’attendait sur ce front social, devenu tumultueux avec l’interruption des discussions entre syndicats et patrons et la dislocation larvée du Conseil supérieur des salaires (CSS), le président de la République ne s’en est pas moqué. Loin de là. Sur le vif, fraîchement revenu d’un voyage Équateur et au Mexique, Jovenel Moïse estime que – pour trouver un dénouement à la « crise » née de l’exigence des ouvriers d’un ajustement du salaire minimum à 800 gourdes –, seul le « dialogue peut résoudre le problème ».
« Il nous faut dialoguer ensemb
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